Qui habite les histoires des enfants,
Et celles des plus grands,
Pour s'endormir.
Qui improbable-dans le parc de la tête d'or-au regard des passants,
De son détachement résonne dans l'avenir,
Et permet de supporter la terreur et la douleur.
Le sourire de la girafe,
Et celles des plus grands,
Pour s'endormir.
Qui improbable-dans le parc de la tête d'or-au regard des passants,
De son détachement résonne dans l'avenir,
Et permet de supporter la terreur et la douleur.
Le sourire de la girafe,
énigmatique,
lunatique,
Triste et surréaliste.
Salvador Dali - Girafe en feu, 1935
NB : c'est le 100e post de ce blog en trois ans et demi, oui je suis une feignasse...
3 commentaires:
100 post !! ich gratuliere trozdem
Danke alta...
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