Les brumes d'octobre sont loin. Elles ont laissé la place à celles de novembre, puis vint la neige de décembre. Le trajet est le même mais il évolue dans sa monotonie. Le train du Havre, Saint-Lazare à l'aurore dont on attend encore les doigts de rose sous la mousson normande. L'atmosphère d'un automne qui n'en fini pas.
La mélodie d'une saison, entre les larmes qui sèchent doucement et ce train-là qui est toujours le même...
La mélodie d'une saison, entre les larmes qui sèchent doucement et ce train-là qui est toujours le même...
3 commentaires:
Dialogue de sourds-mutiques pour spasme mon-automne:
L'ECORCHE VIF (dans un cri):
Peu importent les années
Et peu importent les villes
C'est Paris, Moscou Berlin
Berlin l'enchanteresse...
Et le déjà vieux règne de l'électricité
Partout même sous nos peaux
La cicatrice aux néons
Et les égouts qui débordent
LA PRÊTRESSE PUNK (dans un souffle):
I and I alone
ghost of thy ghost
walk I will walk
a burning stem
to illume thy night
(three steps...)
blood of my blood
bone of my bone
(three steps...)
can but do for you
I and I alone
Peace off, B&B
Beau choix.
Berlin l'enchanteresse m'a conté ses merveilles aussi cet automne....
Bonne année SW,
Take care dude
l'automne qui s'étire, la moiteur de ses souvenirs et le soleil qui s'efface peu à peu à l'ombre du givre...
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